Béliveau
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Vers la fin de sa carrière Jean Béliveau se consacre à un nouveau projet qui lui tient à coeur: la fondation Jean Béliveau pour les enfants hospitalisés. Quelques années plus tôt, lors d’un match important contre les Blackhawks, Jean est blessé par un joueur adverse. Béliveau se remémore alors le début de sa carrière professionnelle à Québec: ses débuts avec Roland Mercier pour les Citadelles, ses premières blessures, son premier emploi en Relation Publique en tant que porte-parole de la Laiterie Laval, sa rivalité avec son adversaire de l’époque Boum Boum Geoffrion et sa rencontre avec Élise. Rapidement les exploits du jeune prodige suscitent l’intérêt des Canadiens, mais le jeune Jean, un homme de principes et de valeurs, préfère honorer ses engagements à Québec. Jean Béliveau, qui rêve tout de même de jouer avec les meilleurs et contre les meilleurs, parviendra à rejoindre les Canadiens à ses conditions. Il propose à Élise de le suivre à Montréal et lui demande de devenir sa femme.
(Fourni par la production)Jean Béliveau a du mal à s’adapter au jeu robuste de la Ligue nationale. Il se blesse régulièrement et son jeu attise les critiques des partisans et de la presse. Maurice Richard tente de lui faire comprendre à de jouer plus dur. En mars 1955, Richard est suspendu pour avoir frappé un arbitre. Pour les partisans cette décision est injuste et fera éclater une émeute. À l’issue de ce conflit, le Rocket et Jean règlent leurs différends et ils mèneront l’équipe à la victoire pour cinq Coupe Stanley consécutives. Puis, en 1960 Maurice Richard annonce sa retraite.
(Fourni par la production)Avec le départ du Rocket et la blessure de Béliveau, les Canadiens ne performent pas à la hauteur des attentes. Jean est élu capitaine de l’équipe, alors que Boom Boom voyait ce poste lui revenir. Jean devra le convaincre de rester à ses côtés pour gagner à nouveau la Coupe Stanley. Sur le plan personnel, Élise reçoit des appels anonymes à propos de Jean... Frank Selke sape le moral de l’équipe en échangeant l’excellent gardien Jacques Plante. Hartland Molson décide alors de donner un nouvel élan à l’équipe et de regarder vers la jeunesse et l’avenir.
(Fourni par la production)Au début de la saison 1964-65, Sam Pollock prend la relève de Frank Selke pour diriger l’équipe. Alors que sa santé inquiète la direction et son épouse, Béliveau est confiant quant à lui de ramener la coupe Stanley à Montréal. C’est sous le leadership de Béliveau, l’énergie des jeunes joueurs et l’expérience des vétérans que les Canadiens gagnent la coupe Stanley quatre fois en cinq ans et redeviennent l’équipe légendaire qui a marqué les années 50. Alors qu’Élise pense que Jean est mûr pour sa retraite, il annonce son désir de gagner une 10e coupe Stanley.
(Fourni par la production)Jean Béliveau songe sérieusement à la retraite, mais les arguments de Hartland Molson, Sam Pollock et Henri Richard ainsi que le soutien inconditionnel d'Élise finissent par le convaincre de jouer une autre année. La saison débute difficilement avec Claude Ruel, le premier coach francophone de l'histoire des Canadiens. Aux difficultés internes de l'organisation s'ajoutent les événements de la crise d'octobre et de nouveaux problèmes de santé pour Béliveau. Malgré les circonstances, Jean reste un leader incontestable capable d'unir et de raviver la passion de son équipe. Il comptera son 500e but en carrière à l'aube d'accrocher ses patins. Loin du faste que veut lui accorder l'organisation, c'est sur le développement d'une fondation qu'il concentre son énergie. Contre toute attente, les Canadiens éliminent les Bruins de Boston en quart de finale et remportent la coupe Stanley contre Chicago, la 10e de la grande carrière de Jean Béliveau.
(Fourni par la production)