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Jeudi 20 septembre, une femme âgée est retrouvée sans vie dans la chambre no 13, entourée de livres aux illustrations énigmatiques. Albert Lauzier est là, intrigué par les images des livres et secoué par les pressions de l'inspecteur Couturier qui aimerait faire la lumière sur cet incident mystérieux. Pourrait-il s'agir d'un meurtre? Fred, un jeune photographe publicitaire, arrive à l'Hôtel de la Falaise pour prendre quelques clichés du drame, mais dès son entrée dans la chambre, quelque chose ne tourne pas rond. La vue de la défunte lui provoque un vertige, mais il y a autre chose: un sentiment inexplicable l'envahit. Son malaise s'accentue lorsqu'il trouve, sous un meuble de la chambre, un objet qui lui remémore des souvenirs de son enfance. Cherchant à comprendre dans quel tourbillon il se trouve, Fred découvre peu à peu qu'il possède un passé commun avec la chambre no 13... (Fourni par la production)
Michel et Alicia sont jeunes, amoureux et de moralité douteuse. L'avenir semble resplendissant pour eux puisque, d'ici quelques mois, ils changeront de statut social. De «ti-culs» insouciants, ils doivent devenir parents heureux... et insouciants. Pour négocier ce changement avec bonheur, il n'y a qu'un problème à régler, l'argent. Michel propose de travailler, Alicia propose de voler son propre père. Rapidement, ils obtiennent un nouveau statut, celui de jeune couple en fuite. Un coup du hasard les pousse à se cacher dans un hôtel du Vieux-Québec. À partir de là, leur vie prendra une direction imprévue... (Fourni par la production)
Bernard Daviau est un homme très perturbé. Chaque fois qu'il rencontre quelqu'un, il ne peut s'empêcher de l'imaginer en train de mourir. De plus, verbomoteur comme il est, il a la fâcheuse habitude de parler de ses visions morbides à quiconque a le malheur de se trouver sur son chemin. Alors qu'il est de passage à Québec pour les funérailles d'un ancien collègue de travail, Bernard fait la rencontre de Frida, une femme intrigante qui s'intéresse avec amusement à son cas. Il tombe sous le charme de l'inconnue qui se laisse séduire par ses discours abracadabrants. Bernard est complètement fasciné par la belle Frida, car en plus de tous ses atouts «naturels», sa mort ne lui apparaît pas. Avec elle, Bernard est à l'aise, libre des cauchemars éveillés qui le hantent depuis la mort de sa femme. Mais quelque chose se cache derrière cette rencontre du destin. Un souper au restaurant, une nuit dans la chambre no 13 et tous ces mystères seront résolus... (Fourni par la production)
Après trois ans d'absence, Ledg revient à Québec. Étrangement, il ne prévient personne de son retour et se réfugie à l'hôtel où il s'enferme dans sa chambre. De là, il communique avec son ami Déro qu'il invite à venir le rejoindre. Lorsque le jeune homme débarque, il est complètement stupéfait devant ce qu'il voit: Ledg a rapetissé! Du gaillard de six pieds qu'il était, il a maintenant peine à atteindre les trois pieds et demi... Le cas de Ledg est unique en son genre et aucun médecin n'arrive à un diagnostic clair. La seule chose sur laquelle ils sont d'accord, c'est qu'il continue de rapetisser, un peu plus chaque jour. Devant l'éventualité de disparaître complètement, Ledg profite de la présence de Déro pour lui remettre son testament, en lui faisant promettre de ne rien ouvrir avant sa mort... (Fourni par la production)
Yvan, un riche homme d'affaires souffrant d'infertilité, décide de se faire cloner pour avoir un héritier. Voulant s'acheter une descendance à son image, Yvan planifie un séjour incognito à Québec pour rencontrer un chercheur dans le domaine et lui offrir les moyens financiers qui lui permettront de réussir la délicate intervention. Plus ou moins au courant des intentions de son mari, Louise, qui venait se faire faire un bébé à la carte, prend brutalement conscience des objectifs inavoués d'Yvan et devient de moins en moins docile. Yvan devra alors se rendre à l'évidence qu'il n'y a pas que les limites de la science qui peuvent nuire à son projet de reproduction, puisque sa femme semble devenir soudainement son nouveau problème... (Fourni par la production)
Madeleine, 68 ans, retrouve l'Hôtel de la Falaise où elle a jadis rencontré son premier amour. Philippe se lève en fin d'après-midi comme chaque jour pour aller travailler, mais ce soir-là, ses pas le mènent vers un café du Vieux-Québec. C'est ainsi que Madeleine et Philippe se rencontrent et passent quelques heures ensemble. Quelque chose naît entre eux, une compréhension mutuelle peut-être, une certaine affection. Au terme de cette nuit qu'ils passent en déambulant dans la ville enneigée, elle lui fixe un rendez-vous. Il doit venir la retrouver dans sa chambre avant la fin de la matinée. Elle aura quelque chose pour lui, une surprise... (Fourni par la production)
Gilles, 50 ans, est en pleine crise existentielle. Il trouve son métier de plus en plus lassant, de plus en plus répétitif. Il a pourtant un boulot qui sort de l'ordinaire. En effet, tueur à gages n'est pas ce qu'on peut appeler une profession banale... Il a beau participer régulièrement à une thérapie de groupe, rien ne semble vouloir s'arranger. En allant exécuter ce qu'il considère comme son dernier contrat avant sa retraite, Gilles passe une nuit dans un hôtel de Québec. Le lendemain matin, il se rend à la demeure de sa victime sans grande conviction, rate son tir et ne fait que la blesser. Il s'approche pour l'achever, mais surprise! Il reconnaît un vieil ami d'enfance, aujourd'hui devenu psychologue. Tout heureux, Gilles engage la discussion avec Brad, moribond, qui répond aux questions existentielles de son assassin. (Fourni par la production)
Sylvain se prépare pour une grosse soirée. Bien qu'il ne l'ait jamais avoué, il prévoit passer sa première nuit avec une femme. Tout est prévu, ou presque... Andréanne voit toute sa vie bousculée après qu'elle ait reçu un message téléphonique. Quelqu'un qu'elle croit reconnaître appelle au secours de New Delhi. Pleine de convictions, elle s'imagine pouvoir partir, mais s'aperçoit vite que la somme à trouver pour un aller et deux retours dépasse largement ses capacités financières. Dans la chambre no 13, une collision entre deux êtres blessés aura lieu. Suite à cette rencontre, ils n'auront d'autres choix que de se retrouver face à eux-mêmes et devront chasser les monstres de leurs placards... (Fourni par la production)
Gherber Ross, ingénieur informatique dans la mi-trentaine, a été sollicité par la Suisse pour occuper un poste de chercheur dans une compagnie de Québec. Il loge à l'Hôtel de la Falaise, le temps de se trouver un appartement. Au boulot, Gherber doit passer un temps fou à protéger ses minuscules circuits électroniques de la poussière, des poils et autres éléments naturels indésirables. Cette obsession de la propreté s'est aussi immiscée dans sa vie privée et Gherber a adopté une foule de petits rituels quotidiens qu'il effectue avec lassitude: brosse à ongles, lavage intensif des mains, des oreilles, des pieds, polissage de ses ustensiles avant de manger, etc... Dès sa première nuit dans la chambre no 13, incapable de fermer l'œil, Gherber est soudainement pris d'une envie irrésistible. Il descend dans la cour, se met les pieds dans la boue et en ressent un grand soulagement. Le lendemain, sous la douche, il est pris de démangeaisons terribles au contact du savon... S'amorce alors pour Gherber Ross une étrange recherche du bien-être et du bonheur... (Fourni par la production)
Un ancien client mystérieusement disparu est retrouvé mort derrière l'Hôtel de la Falaise. L'inspecteur Couturier voit enfin sa chance d'épingler l'hôtelier. Il obtient un mandat, ferme l'établissement et fait coffrer Albert Lauzier pour lui faire subir un interrogatoire. L'hôtelier a beau lui répéter qu'il n'a rien à voir là-dedans et qu'il ne faut pas chercher dans le concret ce qui s'explique par l'invisible. Couturier ne démord pas. Il trouvera des preuves pour l'inculper. Pendant qu'il fait interroger Albert par son adjointe, Couturier mène son enquête seul en fouillant l'hôtel de fond en comble. Dans la chambre no 13, il trouve quelque chose qui lui fournira une réponse à toutes ses questions, mais qui le fera aussi sombrer dans le monde de la folie... (Fourni par la production)
Chroniqueur télé du journal Le Soleil depuis 2001, Richard Therrien carbure à son petit écran. Celui qu’on surnomme parfois «l’encyclopédie de la télévision» a d’abord oeuvré au magazine TV Hebdo de 1996 à 2001. Sa spécialité: la télé québécoise. On peut l’entendre régulièrement commenter l’actualité télévisuelle au 98,5.
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